-
Par Archimède H le 28 Décembre 2022 à 08:04
Je vous propose parfois des définitions de mots qui peuvent être intéressants à utiliser au Scrabble.
Il y a quelques mois, je vous ai parlé du wokisme.
On a appris la semaine dernière que le wokisme s’infiltre maintenant dans le Scrabble...
400 mots sont retirés de la liste officielle des vocables autorisés dans la version anglo-saxonne du jeu : Les insultes raciales, homophobes ou contre les personnes âgées ont été supprimées.
Et bien entendu, cela arrive aussi chez nous...
Pour la nouvelle édition du dictionnaire qui régit les tournois de Scrabble francophones, Mattel (qui édite le célèbre jeu en France), a demandé le retrait de plusieurs mots jugés « offensants ».Loin de moi l'idée de chercher à placer à tous prix des insultes en jouant au Scrabble, mais je ne m'offusque pas si un participant à l'occasion d'en placer un.
Nier l'existence des insultes, est-ce vraiment lutter contre celles-ci ?
Pour éviter les guerres, les crimes, etc... ne faudrait-il pas interdire tous les termes qui s'y rapportent ?On s'approche dangereusement du Novlangue, n'est-ce pas ?
Et dire de quelqu'un qu'il est « macroniste », est-ce offensant ?
Personnellement, cela ne me plairait pas beaucoup !C'est dommage, que le mot bachibouzouk soit trop long pour être placé sur un plateau de jeu !
4 commentaires -
Par Archimède H le 20 Décembre 2022 à 08:08
Dans quelques jours nous entreront - peut-être - dans une « Trêve de Noël ».
Lorsque l'on mène une sorte de « combat » pour essayer de rétablir quelques vérités et dénoncer les attaques d'un pouvoir contre son propre peuple, on est d'une certaine façon en « guerre » contre ceux qui détiennent l'argent, le pouvoir, les grands médias.
On peut donc - peut-être - s'accorder une « Trêve de Noël ». A condition que les adversaires ne profitent pas de cette périodes pour prendre des décisions encore plus violentes et ne diffusent pas de mensonges encore plus gros...
L'Histoire de cette trêve de Noël remonte à une vrai guerre, sanglante, celle des tranchées de la première guerre mondiale.
A Noël 1914, alors que la guerre est déclarée depuis plusieurs mois, les soldats épuisés marquent une trêve dans les combats. Parfois, de simples cessez-le-feu sont appliqués, d’autres fois de vrais moments de fraternité entre soldats ennemis sont observés sur le front.
Au matin du 25 décembre 1914, les soldats allemands cessent le feu et sortent des tranchées autour de la ville belge d’Ypres en chantant des cantiques de Noël. Des sapins sont placés le long des lignes de tir et les soldats britanniques, belges et français sont invités à participer aux festivités. Un match de football est improvisé.
Cette trêve n’est pas officielle et les autorités de chaque armée tentent même d’y mettre un terme.Cet épisode de la première guerre mondiale a été immortalisé, en 2005 dans le film « Joyeux Noël ».
De nombreux articles en parlent :
Fêtes de Noël dans les tranchées : la Trêve
La “trêve de Noël” 1914, quand le football interrompt la guerre
En attendant la « Trêve de Noël », il me reste quelques jours et quelques articles pour m'exprimer contre ceux qui ne nous veulent pas que du bien...
1 commentaire -
Par Archimède H le 12 Décembre 2022 à 08:55
Aujourd'hui, avec l'approche de Noël, je ne vais pas m'agacer avec l'actualité...
Le sujet de réflexion du jour est une sorte de conte métaphorique.
Un homme tomba dans un trou et se fit mal.
Un cartésien se pencha et lui dit : « Vous n’êtes pas rationnel, vous auriez du voir ce trou ».
Un spiritualiste le vit et dit :« Vous avez du commettre quelque péché ».
Un scientifique calcula la profondeur du trou.
Un journaliste l’interviewa sur ses douleurs.
Un yogi lui dit : « Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».
Un médecin lui lança deux comprimés d’aspirine.
Une infirmière s’assit sur le bord et pleura avec lui.
Un thérapeute l’incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans ce trou.
Une pratiquante de la pensée positive l’exhorta : « Quand on veut, on peut ! »
Un optimiste lui dit : « Vous auriez pu vous casser une jambe ».
Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d’empirer ! »
Puis un enfant passa et lui tendit la main pour l’aider à sortir...
Les meilleures solutions sont souvent à porter de main !
2 commentaires -
Par Archimède H le 5 Décembre 2022 à 08:14
Les radars dits « pédagogiques » se sont multipliés ces dernières années. Assez répandus en milieux urbains, ils gagnent les zones rurales. Et la mode va s'en doute continuer avec la multiplication des « zones 30 ».
Il parait que ces équipements seraient efficaces…
Personnellement, je n’ai pas besoin d'études sur les résultats, ni de statistiques. Il suffit d’attendre à proximité et d’observer.
J’ai souvent constaté qu’ils présentent fréquemment une indication de vitesse au rouge (dépassée), voire orange (un peu trop vite) et rarement au vert.
Et le lendemain, les mêmes véhicules passent à nouveau au même endroit en dépassant la vitesse autorisée...S'il m'arrive d'être avisé de mon dépassement de vitesse par l'une de ces fabuleuses machines, je me dit « mince, j'étais distrait », je lève le pied et je redouble de vigilance... S'il s'agit d'une route que je n'avais jamais empruntée, je fait encore plus attention la prochaine fois à la signalisation m'indiquant que je doit réduire ma vitesse (on loupe parfois les panneaux cachés en partie par un véhicule en stationnement ou de la végétation).
Mais je doute fort que ce soit le cas de tout le monde.Je ne suis pas pour une répression systématique des petits écarts que l’on commet tous au moins une fois dans sa vie.
Mais je me demande vraiment à quoi ça sert, part faire tourner les entreprises qui les vendent et les distribuent et dédouaner les élus locaux qui décident d’en faire installer (« vous voyez, on a fait quelque chose pour la sécurité routière »).Les radars dits « pédagogiques » indiquent juste les dépassements de vitesse et disent gentiment :
« ce n’est pas bien, vous roulez trop vite ! »
Mais à part cela ?
Si les radars pédagogiques avaient la parole, peut-être que l’un d’entre eux dirait à la façon de François Hollande :
« Moi radar pédagogique, je n’arrêterai pas les contrevenants.
Moi radar pédagogique, je ne demanderai pas le permis de conduire ni les papiers du véhicule.
Moi radar pédagogique, je ne constaterai pas le taux d’alcoolémie des conducteurs inconscients.
Moi radar pédagogique, je ne contrôlerai pas les conducteurs ayant consommé des substances psychoactives.
Moi radar pédagogique, je ne verbaliserai pas l’utilisation du téléphone portable au volant.
Moi radar pédagogique, je ne vous imposerai pas de mettre votre ceinture de sécurité, ni le siège aux normes pour vos enfants, qui pourtant épargneraient vos vies en cas d’accident.
Moi radar pédagogique, je ne vérifierai pas l’état des véhicules, je vous laisserai rouler dans un véhicule dangereux et polluant.
Moi radar pédagogique, je vous laisserai faire des dépassements dangereux.
Moi radar pédagogique, je ne vous empêcherai pas de rouler trop vite… »
Bref, en supposant qu’une partie des automobilistes constatant qu’ils roulent trop vite lèvent quand même le pied, ces radars ne remplaceront jamais la présence humaine…
Mais c’est vrai qu’en France on est en pénurie de policiers… entre autre.
Peut-être que s'il y avait plus de police au bord des routes, cela ferait ralentir certains ?
2 commentaires -
Par Archimède H le 28 Novembre 2022 à 10:48
Il y a quelques jours certains médias et plus généralement les français mal informés découvraient l'affaire McKinsey-Macron !
Conflit d'intérêt ??? Quelle surprise !
Sérieusement, comment peut-on être à ce point déconnecté ?
Ces liens entre Emmanuel Macron, la multinationale Pfizer, le cabinet Mckinsey et la famille Fabius (sans oublier Mme Ursula von der Leyen) étaient pourtant connus depuis des années et en particulier lors de la dernière campagne présidentielle...
Voici les faits :
En 2007, Emmanuel Macron alors jeune inspecteur des finances devient rapporteur général adjoint de la commission Attali, dont le rôle était de proposer des réformes économiques au président Nicolas Sarkozy. Emmanuel Macron impressionne et notamment Eric Labaye, alors dirigeant de McKinsey en France.
Emmanuel Macron, banquier d'affaire chez Rothschild, négocie le rachat d'une branche de l’entreprise Pfizer, spécialisée dans le lait infantile par Nestlé, le géant agro-alimentaire. (de 2011 au premier semestre de 2012, avant sa nomination comme secrétaire général adjoint de l’Elysée, il a gagné 2,4 millions d’euros chez Rothschild).
En avril 2016, le ministre de l'Economie crée « En marche » et une dizaine de salariés de McKinsey réfléchissent « bénévolement » à des propositions sur l'économie ou les grands dossiers régaliens...
Laurent Fabius, ancien premier ministre au cœur du plus gros scandale médical du 20ième siècle (l'affaire du sang contaminé qui éclate en 1991 - au moins 1 000 décès) est nommé Président du Conseil constitutionnel en mars 2016. (On ne parlera pas ici d'un autre scandale d'Etat, Rainbow Warrior en 1985.)
Emmanuel Macron est élu en 2017, de jeunes consultants de McKinsey rejoignent alors le pouvoir : directeur adjoint du cabinet du secrétaire d'Etat au Numérique ; chef du « pôle projets » de la République en Marche ; directeur général de la République en Marche.
Éric Labaye a été nommé président de Polytechnique en 2018.
De son côté, l'ancien patron des Jeunes avec Macron, Martin Bohmert, a rejoint le cabinet McKinsey en 2020.Victor Fabius (le fils de Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel) est directeur associé du cabinet McKinsey.
Le dit cabinet de conseils McKinsey a piloté la « stratégie vaccinale » en France.
Le conseil constitutionnel présidé Laurent Fabius par a validé l'obligation déguisée d'injections sous le nom de « pass vaccinal ».
Le 16 mars 2022, le rapport de la commission d'enquête du Sénat assurait que les contrats passés entre l'Etat et les cabinets de conseils (dont McKinsey) avaient plus que doublé entre 2018 et 2021, pour un montant record de plus de 1 milliard d'euros en 2021 !
Mais ce n'est pas tout...
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission, a porté atteinte aux intérêts financiers de l'Union, en procédant à un achat massif de vaccins... Pfizer !
Le mari de Ursula von der Leyen est le directeur de la société « Orgenesis », dont Pfizer est actionnaire !
Articles, à lire ou à relire, qui démontrent que tout était connu avant la présidentielle de 2022, ou en lien avec ce scandale de portée internationale :
Le jour où Emmanuel Macron est devenu millionnaire grâce à… Pfizer
Emmanuel Macron, quel est le gros coup qui lui a permis de devenir millionnaire ?
C’est un fils Fabius qui gère la vaccination en France : tous aux abris !
Le directeur de McKinsey candidat à la Présidence de la France
McKinsey Gate & Macron : les costumes de Fillon, c’était de la rigolade…
Il y a 30 ans, le procès de l’affaire du “sang contaminé” s’ouvrait à Paris
Ursulagate : pourquoi von der Leyen porte gravement atteinte aux intérêts financiers de l’Union
Dans une démocratie digne de ce nom, ces conflits d’intérêts devraient faire sauter le président de la République et le président du conseil constitutionnel et amener quelques personnes au tribunal.
11 commentaires -
Par Archimède H le 23 Novembre 2022 à 08:53
Il existe des journées internationales sur de nombreux thèmes (journée mondiale contre le cancer, journée mondiale des océans, journée internationale des droits de l'Homme...) ou nationales (journée nationale de la sécurité routière, journée du transport public,...). Je serai peut-être inspiré par un de ces sujets un jour.
Il existe aussi une Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD pour les connaisseurs). Il s'agit d'un événement qui encadre depuis 2009 l'organisation, durant une même semaine et partout en Europe, d'actions de sensibilisation sur la réduction des déchets. Chaque année un thème particulier est mis en avant.
L'édition 2022 se déroule du 19 au 27 novembre sous le thème du textile.
Je ne vais pas détailler en quoi consiste cette SERD, vous pouvez accéder au cite officiel en cliquant sur le logo.
Le principe général de la réduction des déchets est la règle des 3R : Réduire, Réutiliser, Recycler.
Réduire :
Réduire les déchets à la source est la meilleure solution pour diminuer ses déchets et économiser les matières premières comme le bois, le pétrole ou l’eau :
- Utiliser un cabas ou un panier pour les courses et refuser ainsi les sacs plastiques.
- Acheter des produits qui ne sont pas suremballés, des recharges, des grands formats ou en vrac.
- Éviter les produits jetables (lingettes, appareils photo, vaisselle en carton…).
- Acheter des appareils de qualité qui dureront longtemps (là, reconnaissons que ce n’est pas toujours évident de s’y retrouver).
Réutiliser :
Réutiliser ou réemployer, c’est prolonger la durée de vie d’un objet en le réparant ou en lui affectant une nouvelle place. L’objet garde cependant sa fonction initiale :
- Entretenir et réparer les objets.
- Réutiliser les papiers imprimés d’un côté comme brouillons, réutiliser les sacs plastiques comme sacs-poubelle, des emballages comme rangements…
- Louer ou emprunter au lieu d’acheter ce dont on fait peu usage.
- Donner ce dont on n’a plus besoin à des proches ou des associations.
- Acheter / revendre d’occasion dans des dépôts-ventes, des braderies, sur Internet…
Recycler :
Recycler, c’est fabriquer un nouvel objet à partir d’un vieil objet. Le nouvel objet n’a rien à voir avec l’ancien qui sert de matière première. Le déchet devient une ressource :
- Acheter des produits recyclables et recyclés.
- La récup’ permet de bricoler de nouveaux objets.
- La collecte sélective pour les emballages, le verre, le papier, les piles, les médicaments.
- Le compost, qui sert d’engrais...
« Oui, bien sûr » me direz-vous...
Et bien justement, c'est ma réflexion du jour.
Même si ces actions ont le mérite d'exister, on peut s'étonner que l'on soit obliger d'expliquer (à grand renfort de communication) ce que nos parents et grands-parents faisaient sans se poser de question.
A leur époque, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour dans le respect de l'environnement !
Peut-être comme vous aussi, j'essaie de le faire le plus possible toute l'année sans attendre des actions nationales ou internationales... Je n'arrive pas au « zéro déchet », mais je fais de mon mieux.
Mais pour ceux qui n'ont jamais eu l'habitude ou ont perdu l'habitude de le faire, c'est peut-être pas plus mal de faire prendre conscience qu'il est simple d'agir pour l'avenir de la planète sans attendre les discours politiques...
2 commentaires -
Par Archimède H le 16 Novembre 2022 à 08:50
Vous avez lu ce titre et vous vous pensez :
« C’est d’une évidence pourquoi perdre du temps à écrire cela ? »Une vieille connaissance me disait toujours :
« Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant ! »Je dis le donc :
Et là, vous avez envie d'aller voir ailleurs s'il n'y a pas des choses plus intéressantes...
Prenez le temps de lire l'explication.
Vous connaissez cette histoire du professeur d'économie qui annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer, à l'exception d'une année, où ce fut la classe entière qui a connu l'échec ?
Cette année là, sa classe était entièrement convaincue que le socialisme était une idéologie qui formidable, et que personne n'était ni pauvre ni riche...
Bref, un système égalitaire parfait !Voici la réponse du professeur d'économie à ses élèves :
« OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe.
A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera en tête avec de très bonnes notes. »
Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui, naturellement, étaient ravis.
A l'approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins, et ceux qui s'étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins travailler (à quoi bon). La moyenne de ce contrôle fut de 9/20 !...
Quand arriva le 3ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20.
Ensuite, les notes ne remontèrent jamais, alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux, dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.
Au final, les élèves ratèrent tous leur examen final !
Le professeur leur expliqua (ce qui apparu finalement comme une évidence) que quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important, tandis que, si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.
Il ajouta ceci :
« Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit.
Tout Pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres.
Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand l’autre moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela s'appelle le déclin ! »
Vous voyez bien :
On ne multiplie pas les biens en les divisant les efforts.
Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant !
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique