•  

    La réflexion du jour est une petite histoire, inventée ou pas, mais dont la conclusion est intéressante...

     

    Un avocat, père de 8 enfants se voyait toujours refuser la location d’un logement, justement parce qu’il avait 8 enfants !

    Un jour, il dit à sa femme de faire une promenade au cimetière avec 7 enfants et lui de son côté, partit avec le huitième pour tenter de louer un logement.

    Lorsque le propriétaire lui a demandé s’il avait d’autres enfants, l’avocat (qui ne doit jamais mentir) a répondu :

    - Sept autres. Ils sont au cimetière avec leur mère.

     L’avocat a obtenu son logement. Il dit alors à son fils :

    - Tu vois, il ne sert à rien de mentir, il s’agit simplement d’utiliser les bons mots.

     Le fiston est devenu politicien...

    L'art d'utiliser les mots...

     

    Les politiciens et avocats ne mentent pas forcément... ils ont juste l'art d'utiliser les mots et d'oublier de préciser le contexte.

    Les politiciens ont aussi l'art de manipuler les chiffres...

    Et quand un avocat (ou une avocate) fait de la politique... les exemples ne manquent pas !

     


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  • L’ancien candidat à la présidentielle et chef du parti communiste, Fabien Roussel, a déclaré vendredi 9 septembre 2022 à la fête de l'Humanité que « la gauche doit défendre le travail et ne pas être la gauche des allocations et minimas sociaux ».

    Les autres branches de la « Nupes », et La France « insoumise » en tête vont jusqu’à dire qu’il s’agit de « propos de la droite et de l’extrême droite »…

    Ça chauffe à gauche !

    La gauche française n’avait-elle pas pour objectif à l’origine pour défendre les travailleurs français ?

    Manifestement, à gauche, on n'est pas tous dans le même bateau... et encore moins dans le même avion !

     


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  • La pensée du jour est une légende moderne à méditer...

    Un Airbus 380 est en route pour traverser l'Atlantique. Il vole stable à 800 km/h et 30.000 pieds, quand soudainement un Eurofighter typhoon s'approche de lui, à Mach 2 (donc, 3 fois plus vite).

    Le pilote de l'avion de chasse ralentit, vole aux côtés de l'Airbus et appelle le pilote de l'avion de ligne par radio :

    - Vol en autobus, vol ennuyeux n'est-ce pas ? Attachez votre ceinture et jetez un coup d'œil par ici !

    Il fait un tonneau, accélère, passe le mur du son, monte en chandelle à une hauteur vertigineuse, puis pique jusqu'au niveau de la mer dans une vrille à couper le souffle. Il retourne près de l'Airbus et demande :

    - Eh bien, comment c'était ?

    Le pilote d'Airbus répond :

    - Très impressionnant, mais maintenant regardez par ici !

    Le pilote de jet regarde l'Airbus, mais rien ne se passe. Il continue de voler obstinément en ligne droite, à vitesse constante. Après cinq minutes, le pilote d'Airbus appel à la radio :

    - Eh bien, qu'est-ce que t'en dis ?

    Le pilote de jet demande confus :

    - Qu'avez-vous fait ?

    L'autre pilote rit et dit :

    - Je me suis levé, je me suis étiré les jambes, je suis allé à l'arrière de l'appareil pour passer aux toilettes, j'ai pris une tasse de café et un gâteau à la cannelle.

    Morale de l'histoire :
    Quand on est jeune, la vitesse et l'adrénaline semblent être les meilleures des choses de la vie. Mais en vieillissant et en devenant plus sage, le confort et la paix prennent toute leur importance, aussi.

    En anglais ils appellent ça le S.O.S : Slower, Older, Smarter (plus lent, plus vieux, plus malin) !

     

     Plus lent, plus vieux, plus malin


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  • De mon temps on appelait ces vacances d'été « les grandes vacances ».

    Autour de la Toussaint, on avait « les vacances de Toussaint », à l'approche de Noël, on parlait de « vacances de Noël » (et pas de vacances de fin d'année) et à l'approche de Pâques, on avait, tenez-vous bien... « les vacances de Pâques » et  non les vacances de printemps.
    Sans doute qu'à l'époque les groupes de pression (on dit maintenant lobbys) étaient moins puissants...

    Mais revenons-en à nos moutons, voilà les grandes vacances touchent à leur fin et  « nos chères têtes blondes » vont reprendre le chemin de l'école.

    C'est la fin des grandes vacances !

    Petite précision : je n'ai pas pris 2 mois de vacances...

    Je suis parti juste 2 petites semaines pour aller voir la famille et les amis... en France.

    Un peu de cohérence...
    Quand on s'inquiète sincèrement du dérèglement climatique et de l'économie Nationale en déclin, on évite de prendre l'avion (ou de faire du jet-sky) et de dépenser son petit budget vacances-loisirs (qui n'est pas à la charge du contribuable), dans un pays étranger.
    Je ne vous parle même pas de karting ni de jet-sky... On se demande maintenant si ce n'est pas réservé à ceux qui ne respectent pas les lois ou qui ne respectent pas leur propre discours moralisateur.

    J'ai juste mis ce blog en pose pendant 2 mois parce que chacun profite des grandes vacances et passe, en principe, un peu moins de temps sur internet.

    En ce qui me concerne : un peu de jardin pour essayer de maintenir quelques légumes dans le potager en souffrance avec cet été très chaud et sec, promenades à pieds et bricolage en retard.

    Comme vous avez pu le deviné, j'ai continué à me tenir informé. C'est peut-être pour cela que j'ai laissé ce blog en pause pendant ces grandes vacances : trop de sujets graves, agaçants, inquiétants pour une période de l'année où on aimerait décompresser vraiment.

    Bonne reprise à tous !

     

     

     


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  • Il y a 2 jours, dans la rubrique « citation du jour » je vous proposait une phrase de George Orwell.
    En début d'année, je posais la question « 
    On s’approche de 2024 ou de 1984 ? ».
    Au mois de mars, je plantais le décors du roman 1984...

    Les plus perspicaces auront compris que je m'intéresse un peu à cet auteur et en particulier à ce roman (je vous conseille également la lecture de « La Ferme des animaux ».

    J'aurais d'ailleurs pu faire un article le 10 juin pour célébrer la date de sortie du livre,.. le 10 juin 1949.
    Ceux qui l’ont lu à l’époque ont peut-être trouvé l’histoire totalement absurde, ne serait-ce qu'avec ces slogans :

    En réalité, George Orwell était inquiet face à l’évolution de notre monde, il craignait la perte de liberté des individus, de toute liberté de jugement et de tout sens critique. Pour en parler, il a écrit un roman de « science fiction » intitulé 1984 (inversant les 2 derniers chiffres de l’année où il l’a écrit).

    Bien sûr en 1984, nous n'étions pas encore dans un monde tel qu'il est décrit dans cette œuvre. Mais, ceux qui l'ont lu se rendent compte que ce que nous vivons actuellement se rapproche dangereusement de cette fiction.
    Nineteen Eighty-Four, était bien plus qu’un simple roman d’anticipation, c’était en tout cas loin d’être une histoire absurde !

     

    D'ailleurs, George Orwell avait écrit plus tard : « Je ne crois pas que le type de société que je décris surviendra nécessairement, mais je crois que quelque chose de similaire peut survenir ».


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  • Élisabeth Borne a remis sa démission à Emmanuel Macron, mais il l'a refusée « afin que le gouvernement reste à la tâche ».

    Quelle langue de bois pour ne pas dire qu'il ne sait pas comment sortir de cette impasse !

     

    Jean-Luc Mélenchon rêve t-il encore d'être Premier ministre alors que LFI n'a obtenu en réalité que 72 sièges à l'assemblée (total NUPES 131 et divers gauche 22 selon le ministère de l'intérieur) ?

    Hier, dans l'émission « L'Heure des Pros 2 » sur CNEWS George FENECH revendiquait le poste de Premier ministre pour LR... avec 61 députés !

    Et surtout la « majorité présidentielle » sous la bandière « Ensemble ! » n'a pas la majorité absolue, avec seulement 245 députés sur 577 (il en faudrait 289). LREM rebaptisé « Renaissance » (on se demande bien pourquoi) n'a même que 170 sièges (46 pour le MoDem, 26 pour Horizons et 3 pour le Parti Radical).

     

     Qui veut prendre sa place ?

    Peut-être une émission du jeu télévisé « Tout le monde veut prendre sa place », spéciale premier ministre ?

    Emmanuel Macron se pose la question :


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  • « Abstention record » ; « Fort taux d'abstention » ; « l'abstention progresse »...
    Cela fait plus de 20 ans que l'on entend cela les soirs d'élection !

    Et après ?...
    Que fait-on pour inverser la tendance ?
    A chaque fois, ou presque, le taux d’abstention augmente !

    Les discours blâmant ou culpabilisant les millions de Français qui ne vont plus voter se multiplient à droite comme à gauche... pour quelle efficacité ?

     

    Avec le dégoût du résultat au premier tour, la fête des pères et peut-être le soleil dans certaines régions... l'abstention de dimanche prochain sera sans doute encore une « Abstention record ».

     Abstention record !

    Au premier tour de la présidentielle, la France était coupée en quatre (relire l'article).

    Pour le premier tour des législatives, largement plus de la moitié des Français sont dans le camps des « Rien à foutriste » (non-inscrits sur les liste électorale, abstentionnistes, vote blanc ou nul). Les reste est divisé dans les 3 clans :

    Le clan gauche et extrême gauche (environ 7 millions de voix)
    Le clan National et souverainiste (environ 6 millions de voix)
    Et le clan Macronistes (environ 5,85 millions de voix pour « LREM » Ensemble !) auquel il ne faut pas oublier d'ajouter les Macron-compatibles (divers-centre UDI LR). (pour un total d'environ 9,2 millions de voix)

    Même si les députés Macron-compatibles réfuteront le classement dans la majorité présidentielle, ils voteront pendant 5 ans la totalité des lois ultra-libérales et mondialistes, moyennant quelques arrangements, histoire de faire croire qu'ils sont dans l'opposition.

    Il y a aussi quelques 480.000 voix difficilement classables, officiellement comptabilisées dans divers et régionalistes et dont le report au second tour échappe à tout le monde... beaucoup viendront sans doute grossir la fameuse abstention record.

     

    Au final sur les 49 millions d'inscrits sur les listes électorales, la majorité présidentielle et ses alliés (plus ou moins assumés) ne représente que 9,2 millions de Français soit moins de 19 %.

    On pourrait reprendre la question de philosophie proposée ici il y a quelques jours :

    Sur quoi la légitimité de l’État se fonde-t-elle ?

     


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