On a tous vu passer des appels à collectes solidaires pour l’Ukraine…

Parmi celles-ci, j’ai vu un appel à fournir des denrées non périssables, des vêtements, couvertures, des pansements, compresses, et du Paracétamol… y compris périmé !

Alors, on peut se demander :

Soit la date de péremption a pour but de pousser à la vente…

Soit on envoie des médicaments périmés…

 J’aurais tendance à pencher pour la première solution…

Depuis quelques jours l'actualité est exclusivement consacrée à l'attaque de l'Ukraine par les troupes de Vladimir Poutine. On peut parfaitement le comprendre, compte tenu du risque d'embrasement.

Mais, en même temps, on peut se demander aussi pourquoi on ne parle plus des autres sujets, et surtout des autres dangers...

Le COVID19 ne tue plus ?

Le « pass vaccinal » sera-t-il enfin supprimé ?

La démocratie est-elle vraiment assurée en France, et l'élection présidentielle se déroulera-t-elle normalement ?

Une image trouvée sur Facebook hier résume bien cette situation.

Dans un précédent article, on pouvait se demander si la question était absurde ou si le roman que j’évoquais était prémonitoire...

Aujourd'hui je me pose la question :

Les paroles de la chanson « Au lycée Papillon » étaient-elles absurdes ou prémonitoires ?

Élève Labélure ?... Présent !
Vous êtes premier en histoire de France ?
Eh bien, parlez-moi de Vercingétorix
Quelle fut sa vie ? sa mort ? sa naissance ?
Répondez-moi bien... et vous aurez dix.
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
Vercingétorix né sous Louis-Philippe
Battit les Chinois un soir à Roncevaux
C'est lui qui lança la mode des slip...
Et mourut pour ça sur un échafaud.
Le sujet est neuf,
Bravo, vous aurez neuf.

 REFRAIN :

On n'est pas des imbéciles
On a même de l'instruction
Au lycée Pa-pa...
Au lycée Pa-pil...
Au lycée Papillon.

Quand on voit le niveau de nos « chères têtes blondes » nourries par les émissions de télé-débilités et le classement PISA de la France, j'aurais plutôt tendance à choisir la seconde proposition...

 Au lycée Papillon
Paroles : Georgius, musique : Juel, 1936

La réflexion du jour est une question que certains se posent :

« On s’approche de 2024 ou de 1984 ? »

Non, je n’ai pas voyagé dans le temps cette nuit, ni mis de gnôle dans mon café ce matin.

J’ai juste lu et relu « 1984 » de George Orwell, et je me dit souvent que c'était bien plus qu'un roman d'anticipation. C'était, je pense, et ne ne suis pas le seul, véritablement visionnaire.

Vous ne l'avez pas lu ?...
Je vous laisse le trouver, l'emprunter, le lire et vous en inspirer.
Je reviendrai peut-être sur ce sujet un jour.

En attendant, je propose juste une petite phrase tirée de ce roman incontournable.

En ces temps de supercherie universelle,
dire la vérité est un acte révolutionnaire.

L'obstination de certains candidats à se présenter à la présidentielle me fait penser à cette devise des Shadoks :

Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Donc, plus ça rate et plus on a de chances que ça marche...

Alors que trois candidats représentant 50 % de l'électorat peinent à obtenir les 500 signatures, d'autres arrivent toujours à les obtenir alors qu'ils ne feront que 2 ou 3 % de voix, et parfois moins de 1 %... et certains renouvellent l'exploit tous les 5 ans.

La politique en France est souvent aussi absurde qu'un épisode des Shadoks.

Et encore, avec les Shadoks, on savait que c'était un humour volontairement absurde...

Voilà une des petites phrases dont les français ne se souviennent peut-être plus ?

En septembre 2018, Monsieur Macron expliquait à un ouvrier horticole qui se plaignait de ne pas trouver d'emploi, qu'il suffit de traverser la rue pour trouver du travail....

Face à une déclaration aussi méprisante qu'absurde, on peut se poser des questions tout aussi absurdes :

A-t-on prévu l'installation de nouveaux panneaux partout en France ?

Si on traverse la rue de nuit... on trouve un travail au noir ?

Pour ceux qui cherchent un emploi à mi-temps, quelle est la solution ?

Plus sérieusement...
combien de français ont trouvé un emploi en traversant la rue ?

La réflexion du jour me vient en lisant la presse :

« Macron a déjà ses 500 parrainages » !

Il n'est pourtant pas candidat... Mais ses fidèles répliquent qu'il ne fait aucun doute qu'il le sera.

Il est d'ailleurs depuis le début dans les sondages sans être candidat.

Les sondages (pour lesquels il serait instructif de connaître les liens entre les dirigeants des instituts et le personnalités politiques) le donnent même en tête au premier tour et gagnant au second.

Mais alors, il me vient une idée, si on lui donne les signatures sans qu'il soit candidat  « parce que l'on sait qu'il le sera », pourquoi ne pas le désigner toute de suite président pour cinq ans de plus.... « parce que l'on sait qu'il le sera » ?

Pourquoi ne pas supprimer l'élection présidentielle, ça fera gagner du temps et de l'argent à tout le monde ?

Mais dans ce cas, garder le pouvoir sans élection, cela s’appelle la di... en même temps, quand les grands de ce monde sont capables de s'affranchir de la définition officielle du mot vaccin, certains seraient peut-être tentés de changer la définition du mot « démocratie » ?