• J'adopte le principe évoqué dans mon article d'hier.

    Je vais donc prendre du temps en famille et vous quitter pendant deux bonnes semaines.

    Portez-vous bien et prenez du temps !

    A bientôt...

     


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  • J'ai gardé du temps pour moi et au lieu de rédiger un article, j'ai juste recopié ce texte...

     

    Mon ami ouvrit le tiroir de la commode de son épouse et en sorti un petit paquet enveloppé de papier de soie :

    « Ceci, dit-il, n'est pas un simple paquet, c'est de la lingerie ».

    Il jeta le papier et observa la soie et la dentelle.

    « J'ai acheté ceci la première fois que nous sommes partis en voyage, il y a 8 ou 9 ans. Mais, elle ne l'a jamais utilisé. Elle voulait le conserver pour une occasion spéciale. Eh bien... je crois que c'est le bon moment justement ».

    Il s'approcha du lit et rajouta ce paquet à d'autres choses que les pompes funèbres emmèneraient. Sa femme venait de mourir. En se tournant vers moi il me dit :

    « Ne garde rien pour une occasion spéciale, chaque jour que tu vis est une occasion spéciale ».

    Je pense toujours à ces paroles... elles ont changé ma vie. Aujourd'hui, je lis beaucoup plus qu'avant et je nettoie moins. Je m'assieds sur ma terrasse et admire le paysage sans prêter attention aux mauvaises herbes du jardin. Je passe plus de temps avec ma famille et mes amis et moins de temps au travail. J'ai compris que la vie est un ensemble d'expériences à apprécier. Désormais je ne conserve rien. J'utilise mes verres en cristal tous les jours. Je mets ma nouvelle veste pour aller au supermarché, si l'envie m'en prend. Je ne garde plus mon meilleur parfum pour les jours de fêtes, je l'utilise dès que j'en ai envie.

    Les phrases du type « un jour... » et « un de ces jours ... »  sont en train d'être bannies de mon vocabulaire.

    Si cela en vaut la peine, je veux voir, entendre et faire les choses maintenant.

    Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu'aurait fait la femme de mon ami si elle avait su qu'elle ne serait plus là demain. Je crois qu'elle aurait appelé sa famille et ses amis intimes. Peut-être aurait-elle appelé quelques vieux amis pour faire la paix ou s'excuser pour une vieille querelle passée. J'aime penser qu'elle serait peut-être allée manger chinois (sa cuisine préférée).

    Ce sont toutes ces petites choses non faites qui m'énerveraient beaucoup si je savais que mes heures sont comptées. Je serais énervé de ne plus avoir vu certains de mes amis avec lesquels je devais me remettre en contact « un de ces jours... » Énervé de ne pas avoir écrit les lettres que j'avais l'intention d'écrire « un de ces jours... »

    Énervé de ne pas avoir dit assez souvent à mes proches combien je les aime. Maintenant je ne retarde rien, ne repousse ou conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies. Je me dis que chaque jour est spécial.

    Chaque jour, chaque heure, chaque minute est spéciale...

     

    Prendre le temps

     

    Si vous n'avez jamais le temps de rien... pensez à ce texte.

    Bon Week-end !

     


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  • Cette expression, qui existe depuis le tout début du XVIIe siècle est encore aujourd'hui largement employée.

    Rester sur le carreau

    Quelle est donc l'origine ?

    Depuis 1160, le « carreau » désigne un pavé plat de terre cuite servant à paver un sol. Par extension, le terme sert aussi à désigner toute surface couverte par des carreaux.
    Et c'est parce qu'une personne blessée ou tuée à l'intérieur d'une habitation gisait sur le carreau que notre expression est née.
    Actuellement, elle s'utilise aussi également lorsque quelqu'un est en difficulté.

    Au XVe siècle on disait « estre tué sur le carrel », pour « être tué dans la rue », le « carrel » ou « carreau » désignant alors une rue pavée.

     

    Laisser quelqu'un sur le carreau signifie le laisser sur place, mort ou grièvement blessé.

     

    Parfois, on est tellement au bout du rouleau que l'on risque de rester sur le carreau.

     


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  • Ce proverbe vietnamien devrait faire réfléchir les « élites »...

    Proverbe vietnamien

     


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  • La définition de cette semaine est choisie au hasard... ou pas...

    Le premier sens du mot, un peu désuet, « charivari » est :

    Bruit assourdissant, vacarme, cacophonie.

    Le second sens est :

    Bruit tumultueux de huées, de sifflets, de casseroles et d'autres objets, que l'on faisait jadis devant la maison de ceux dont on désapprouvait la conduite.

    Charivari

    Ce mot nous vient de l’ancien français chalivali (« chahut, huée contre un mariage mal assorti »). Par extension, il désigne tout bruit par lequel des gens attroupés témoignent à quelqu’un leur désapprobation, mais aussi une musique bruyante et discordante.

     

     


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  • Petite citation pour la fête du travail...

    Charles de Gaulle a dit

     

    Ce qui sont d'accord pour prolonger la durée du travail le sont peut-être déjà ?...

     


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  • Un petit dicton bien sympathique en ce dimanche matin...

    Dicton du 30 avril

     


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