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Ce mot m'a été soufflé par un fidèle visiteur...
Si vous arrivez à le placer au Scrabble, il vous rapportera 26 points !
Mais c'est surtout le sens de ce mot qui est intéressant...
Du grec ancien sukophántês (celui qui dénonce le voleur de figues).
Dans la Grèce antique, à Athènes et dans quelques autres cités, il s'agissait d'un dénonciateur professionnel qui assignait en justice des citoyens riches afin d'obtenir une part de leurs biens s'ils étaient condamnés.
Par extension, on utilise ce terme pour désigner un délateur, un personnage fourbe, hypocrite.
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Aujourd'hui c'est la Journée internationale des droits de la femme.
Voici quelques images humoristiques sur ce thème.
Une fois n'est pas coutume, je commence par la conclusion
Quelques classiques...
D'actualité ?
Toujours d'actualité dans certaines entreprises...
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Aujourd'hui le calendrier indique que c'est la Sainte Félicité.
Voici donc le dicton du jour...
Le terme gaieté, gaîté ou gaité (cette dernière forme est propre aux rectifications de 1990) désigne le fait d'être joyeux, gai.
Il n'est pas sûr que le pouvoir en place actuellement voit ce 7 février 2023 de la même manière !
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On nous parle parfois de température réelle et ressentie.
Par exemple : température réelle -2° / température ressentie -8°.
La veille, le bulletin météo avait annoncé -4°.« Oui, et alors ? » me direz-vous...
Cette notion de réelle et ressentie, comparée avec ce qui est annoncé, peut concerner d'autres sujet pour le peuple français.
Choisissons un autre sujet totalement au hasard...Sénateurs français payés par le contribuable : 348 (c'est ce que l'on nous annonce).
Présence réelle (ici le 3 mars lors de l'étude de la réforme des retraites) : 34
Présence ressentie par le contribuable : 34567
Un grand nombre d'entre eux qui trouvent que les français ne travaillent pas assez !
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L'expression du jour est bien connue...
Lorsqu’une personne s’énerve et hausse le ton pour défendre son point de vue, on dit qu’elle « monte sur ses grands chevaux ».
Quitte à raconter des salades, comme un membre du gouvernement incapable d'argumenter et annonçant l'apocalypse si le peuple ose s'opposer à ses réformes destructrices...
L’origine de cette expression remonte au Moyen Age.
A cette époque, on choisissait son cheval en fonction de l’activité que l’on comptait effectuer. C'est ainsi que le majestueux palefroi servait pour les parades, le robuste roussin pour les travaux dans les champs, et le courageux destrier pour les tournois et la guerre.
Celui-ci, le plus réputé, était perçu comme plus puissant et plus grand que les autres. Ainsi, « monter sur ses grands chevaux » signifiait partir au combat avec fougue, en chevauchant les montures les plus imposantes.
Mais à partir du XVIe siècle, cette idée d’ardeur a progressivement été remplacée par la colère et à l’agressivité, et la bataille s’est déplacée sur le terrain des idées.
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La pensée du jour nous vient d'Oscar Wilde.
Il n'y a pas grand chose à ajouter... mais ceux qui ont le pouvoir n'ont pas cette vision.
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