• Kouprey

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    Mais il est aussi intéressant, hélas, pour parler d'extinction des espèces.

    Si l'espèce existe encore, elle est plus susceptible de vivre à l'est du Cambodge dans l'une des quatre zones protégées. Il n'y a aucun koupreys dans les parc zoologique. On pense que des koupreys domestiqués pourraient vivre au Cambodge. Mais aucun spécimen vivant n'a été vu depuis 1983.

    Kouprey

     

    Voici ce que j'ai trouvé à propos de cet animal...

    Il faut peut-être tout écrire au passé...

    Le bœuf gris cambodgien

    Le kouprey est un mammifère herbivore dont le régime alimentaire se compose d'herbes longues et courtes, de bambous...

    Les taureaux koupreys mesurent jusqu'à 1,90 m au garrot pour un poids de 700 à 900 kg. Ils sont de couleur noirâtre avec des « bas » aux jambes. Les plus âgés deviennent grisâtres sur les flancs. Les vaches sont plus petites, d'une couleur variant du gris argenté ou du gris souris au brun, parfois irrégulièrement tachetées de noir.

     

    On sait peu de chose sur sa reproduction. L'accouplement a lieu en avril. Après une période de gestation de 8 à 9 mois, la mère quitte le troupeau pour donner naissance à un seul petit. Elle rejoint le groupe au bout de 1 mois.

    L'espèce se déplace en petits troupeaux, principalement des femelles avec leurs petits, comprenant jusqu'à 20 animaux, qui s'associent souvent avec les bantengs ou les buffles d'eau. Les mâles adultes forment des troupeaux de célibataires.

     

    L'espérance de vie est d'environ 20 ans.

     Kouprey

     

    La découverte du kouprey dans les forêts du royaume fut l'une des trouvailles zoologiques les plus surprenantes du XXe siècle. Peu de scientifiques avaient en effet imaginé qu'un mammifère de cette taille (1,90 mètre au garrot, près d'une tonne, jusqu'à 2,5 mètres de long) ait pu échapper à leur vigilance si longtemps.

    Le kouprey existait vraisemblablement depuis des millénaires dans la région, et aurait même été célébré à l'époque angkorienne comme un symbole de fécondité dans des poèmes déclamés à l'occasion du Nouvel an. Mais il n'a été décrit scientifiquement qu'en 1937, ce qui en fait le dernier bovidé sauvage d'Asie à avoir été identifié.

    Il a donc probablement disparu, un demi siècle après sa découverte scientifique !

     

     

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 15 Janvier 2023 à 12:29

    je   n'    avais    en     effet    jamais   entendu      parler    de   cette race   cambodgienne !

    Je    suppose    qu'   on    pourrait    recréer    la   race      comme   on  le   fait    pour    les   aurochs

     Bon    dimanche

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